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Abbé (VII^e siècle) "Selon notre tradition, débarqué avec quelques religieux sur la grève de Ploumanac'h, il s'établit finalement au pied de Perros, à Traou-Perros, dans un tout petit monastère et il y vit au VIIe siècle dans la mouvance de l'abbaye la plus proche: celle de Saint Jacut."
(source: "Sur les traces de Saint Guirec" diocèse de Saint-Brieuc )
- Natif du pays de Galles, Guirec (Kirec) suit saint Tugdual dans son passage en Armorique. Il aurait choisi la vie érémitique dans le Trégor. Le saint moine est l’éponyme de Perros-Guirec et de Locquirec. (diocèse de Quimper)
Il se fête la veille de l'Ascension et c'est l'occasion d'une procession de pardon, suivie par de nombreux paroissiens.
Un internaute nous écrit: "Saint Guirec est un saint breton d'origine irlandaise, du VIIe siècle qui aurait traversé la mer dans une auge de pierre et aurait débarqué avec quelques religieux sur la grève de Ploumanac'h.
Saint Guirec se serait établi au pied de Perros et aurait été abbé de Traou-Perros, un petit monastère dans la mouvance de l'abbaye de saint Jacut."
L'arrivée de Saint Guirec aurait participé à la substitution du monothéisme chrétien au polythéisme celte encore persistant."
Fêté également le même jour que Saint Kirec ou Guévroc (✝ 585), disciple de saint Tugdual, originaire de Grande-Bretagne qui vint s'établir comme solitaire et ermite dans la région de Tréguier en Bretagne armoricaine, puis dans le pays de Léon où saint Pol-de-Léon, alors évêque de ce diocèse, l'appela comme administrateur et dont le petit port de Locquirec-29241 rappelle sa mémoire.

Légende (V^e siècle)

Ce mendiant fort populaire, dont la légende remplace l'histoire, était l'objet d'un culte populaire extraordinaire au point que le Pape Innocent XII dut déclarer le jour de sa fête, jour chômé au 17ème siècle. Fiancé contre son gré, il s'était enfui de Rome en pleine cérémonie nuptiale et s'embarqua pour la Syrie. Il gagna Edesse, mendiant sous les porches. Devant la popularité qui l'entourait, il reprit la mer. Le navire, à cause des vents contraires, le ramena à Rome. Sa fiancée lui était restée fidèle. Ni ses parents ni elle ne le reconnurent dans ce miséreux couvert de loques. Il resta dix-sept ans, dormant sous l'escalier extérieur de la maison paternelle, visitant les églises, maltraité par les esclaves qui lui jetaient des détritus. Une voix céleste révéla sa présence à l'empereur et au pape qui vinrent sous l'escalier et le trouvèrent mort, serrant un manuscrit racontant ses origines.
L'histoire est belle, trop belle peut-être, mais elle n'est pas sans fondement. La 'Chanson de Roland' a amélioré la guerre de Charlemagne, mais Roland existait bien ... Alors il en est sans doute ainsi pour saint Alexis.
À Rome, dans une église située sur l'Aventin, au VIe siècle, on célèbre sous le nom de saint Alexis, un homme de Dieu qui, selon la tradition, quitta sa maison pour se faire pauvre et, inconnu de tous, mendia l'aumône.

Purée carottes & Patates sur Steak Hâché @BrèvesdeLuna

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